28 févr. 2020

Fabriquer son tsurumaki

Il y a pas mal de temps déjà j'ai eu sous la main un document japonais gentiment transmis par Vincent Dallaporta si mes souvenirs sont bons. J'en avais commencé la traduction mais, comme à mon habitude, je me suis arrêté avant la fin. Il ne me restait pourtant que quelques lignes à traduire...

Voilà chose faite, enfin !

Je suis fainéant, aussi n'ai-je pas tenté de vérifier pour voir si "ça marche". Peut-être certains vont-ils s'y mettre ?

Quoi qu'il en soit, j'aimerais bien avoir vos retours, vos critiques constructives pour améliorer le document (correction des fautes aussi) et aussi vos créations...

Cliquez sur l'image ci-dessous.




Bonne lecture et peut-être bon amusement !

16 févr. 2020

Nigirikawa 2

Le lien vers le fichier .pdf concernant la réfection du nigirikawa est de nouveau accessible.
Bon travail.
N'hésitez pas à laisser vos commentaires !



12 févr. 2020

Stage chez Tendô

Samedi 8 février

Stéphane Louise, renshi 5ème dan est venu tout exprès de son département de l'Essonne pour animer le stage organisé par le club Tendô de Toulon, les 8 et 9 février derniers. 
Tomoko Shimomura, renshi 5ème dan également secondait Stéphane Louise sensei.

Je place ici quelques impressions pour faire vivre à ma façon mon association qui n'existe que virtuellement et qui ne trouve décidément pas de lieu pour pratiquer en Dracénie au sens large (Draguignan et les agglomérations voisines)

Mon rôle au sein du club Tendô est de premier plan puisque j'ai l'honneur d'encadrer les pratiquants déjà confirmés (dans la mesure où on peut être confirmé ce dont je doute et ceci me concerne plus que tout autre) et d'enseigner auprès des grands débutants.

Les stages sont des moments importants pour la vie d'un club parce qu'ils permettent de faire des rencontres et de découvrir ou de redécouvrir jusqu'où nous sommes prêts à aller pour nous remettre en question dans notre pratique.

Personnellement j'y trouve beaucoup d'énergie et de motivation pour persévérer. Les stages sont des moments où on sort de sa zone de confort, où on doit s'adapter pour s'harmoniser aux gestes des autres, ceux avec qui on ne pratique pas habituellement. Et puis les enseignements sont toujours nouveaux en raison de la vision des sensei sur leur propre pratique et en raison de leurs expériences auprès des sensei japonais mais pas seulement. J'aime aussi apprendre à enseigner. Je regarde, j'observe, je m'imprègne pour en retirer la substantifique moelle. Ma pratique, mon expérience s'enrichissent, ma compréhension s'affine au fil des années en partie grâce à ces stages et de mon entraînement encore trop irrégulier.



Préparation de l'azuchi


Le tir de cérémonie : hitotsu mato sharei avec Louise sensei et Shimomura sensei. Un honneur pour moi de les accompagner.

Une photo de Mélanie, du club aixois de Shimomura sensei.

Tirs corrigés par Louise sensei

... et Shimomura sensei


Nous étions une petite vingtaine présents à ce stage très enrichissant.